Le dispositif Pinel qui vient en remplacement de celui dit Duflot, s’en démarque par la flexibilité qu’il a gagnée. La mise à disposition locative s’étale aujourd’hui au choix entre 6, 9 à 12 ans. Quant à la défiscalisation accessible, elle peut se chiffrer jusque dan le 63 000 euros. Cliquez ici pour voir tous les intérêts conférés par un placement selon la loi Pinel dans le secteur immobilier. Ces avantages promis ne doivent pas pousser l’investisseur à négliger les règles de prudence élémentaires en investissement.
Les conditions d’éligibilité à une loi Pinel
Les logements qui peuvent prétendre aux conditions avantageuses offertes par la loi Pinel, sont ceux que l’investisseur est entrain de faire construire ou qu’il a acquis en leur état neuf. Il en est aussi ainsi des biens acquis vétustes, mais que l’acquéreur réhabilite ou des locaux à usage professionnel qu’il envisage de transformer en habitation. Ces logements devront tous répondre aux critères préconisés en performance énergétique. Cela veut dire que ces habitations doivent respecter le RT 2012 ou le label bâtiment basse consommation 2005 si elles sont neuves. Si les habitations sont par contre acquises en leur état ancien, elles devront par la suite faire l’objet de travaux de réhabilitation leur permettant d’accéder aux labels BBC réhabilitation ou HPE rénovation.
Le coût de l’investissement en Pinel
Ce dispositif est censé inciter les particuliers à se placer dans le secteur immobilier afin d’étoffer l’offre en habitations accessible pour les ménages à revenu moyen. C’est ce qui fait que les pouvoir publics ont décidé de soumettre les loyers demandés à un plafonnement. Ce dernier varie suivant la situation géographique dans laquelle se trouve ledit bien. Le plafond est toujours indiqué par m2. Cela veut dire que pour connaître le plafond du loyer que vous pouvez demander, il vous faudra multiplier le plafond par la surface habitable.